Satisfaction car je rigole beaucoup sur le coup, et moi rigoler, j'aime beaucoup ça:

https://www.francetvinfo.fr/replay-radi ... 19109.html

Mais il faudra veiller à mesurer la partialité de la mesure, hein ?!

Quand est-ce que Pidji fait ça pour Core And Co, ça serait bien je trouve, et pis mettre des trigger warning aussi, hein.
loule !

Hahaha le "niveau de partialité"

Cloué au fond de mon lit ce week-end, j'ai demandé à mon meilleur pote Chat-gpt d'imaginer l'album d'avant-garde ultime, en se basant sur la sainte trinité Department of Apocalyptic Affairs de Fleurety, Neonism de Solefald, La Masquerade infernale d'Arcturus, Vivalavida de Carnival in Coal et Written in Waters de Ved Buens Ende.

Pentagonal Apocalypse: A Manifesto in Sound
Par l’Ordre Avant-Gardiste des Illuminés du Black Prog Futuriste™
Line-up Principal

• Carl-Michael Eide – Batterie, guitares additionnelles, cris hystériques
• Cornelius Jakhelln – Guitares, spoken word, concept lyrics
• Axel Wursthorn – Basse fretless, arrangements symphoniques, samples tordus
• Svein Egil Hatlevik – Claviers, électronique dégénérée, bruitages absurdes
• Kristoffer Rygg – Chant principal, narrations, incantations murmurées

Guests

• Lazare, Vortex, Fenriz, Satyr, Ivar Bjørnson, Einar Selvik, Sareeta
• Agnete Kjølsrud (Djerv) – Duo sur "The Grand Derision Theatre"

Production

• Enregistré à L’Orgone Studio, produit par Jaime Gomez Arellano
• Artwork par Trine + Kim Design Studio
• Sortie chez I, Voidhanger Records (digibook illustré + double vinyle avec gravure sur la 4e face)

[hr]
Tracklist et descriptions
1. The Pentagonal Conspiracy (A Manifesto in Sound)
Une ouverture majestueuse où tout est annoncé : chœurs célestes à la "La Masquerade Infernale", riffs angulaires à la "Neonism", et nappes électroniques inquiétantes à la "Department of Apocalyptic Affairs". Cornelius Jakhelln déclame un texte cryptique sur une apocalypse à cinq faces, pendant que Kristoffer Rygg chante en mode crooner hanté. Puis, tout bascule : dissonances furieuses, accélérations incontrôlables et breaks électroniques torturés. Premier uppercut.
2. Postmodern Jester’s Parade
Un morceau frénétique dans la lignée de "Vivalavida" de Carnival in Coal : jazz déglingué, blast beats erratiques, et une basse funky slapée par Axel Wursthorn. Rygg et Lazare se lancent dans un échange schizophrénique entre voix angéliques et hurlements grotesques. La guitare de Cornelius Jakhelln virevolte entre Heavy Metal théâtral et Black Metal sardonique.
3. Esoteric Pyrotechnics
Un tour de force instrumental. Carl-Michael Eide lâche un jeu de batterie jazzy/cassé à la Ved Buens Ende, tandis que Svein Egil Hatlevik tisse des nappes synthétiques fantomatiques. Une basse fretless serpente au milieu du chaos, et un saxophone free-jazz apparaît brièvement pour une explosion finale absurde.
4. The Grand Derision Theatre (feat. Agnete Kjølsrud)
Le fameux duo délirant entre Rygg et Agnete. Une ouverture à la "Tittentattenteksti" de Solefald, où Rygg déclame avec gravité tandis qu’Agnete le coupe avec des interjections sarcastiques. Soudain, la musique explose en un mash-up entre blast beats, riffs groovy et refrains cabaret-metal. Une fin en fanfare déglinguée.
5. Arcane Flesh Algorithm (feat. Fenriz & Satyr)
Un morceau plus "rituel", dominé par un chant monastique doublé de percussions tribales et d’un riff lent et dissonant. Fenriz intervient pour une narration ésotérique, pendant que Satyr livre un chant possédé. Une montée progressive vers une explosion de Metal Extrême en mode “émeute orchestrale”.
6. The Ouroboros Paradox (feat. Einar Selvik & Sareeta)
Le titre folk-prog occulte de l’album. Einar Selvik amène des percussions nordiques et une lyre antique, tandis que Sareeta tisse des mélodies de violon lancinantes. L’ensemble évolue vers une fusion entre Post-Black, Folk ésotérique et ambiances synthétiques vaporeuses.
7. Into the Abyss of Recursive Madness
Un morceau labyrinthique à la "Written in Waters". Changements de rythme imprévisibles, guitares dissonantes, chant alternant murmures et explosions hystériques. La basse de Wursthorn est omniprésente, glissant dans des textures presque Zeuhl. Svein Egil Hatlevik enrobe le tout de glitchs électroniques bizarres.
8. A Deus Ex Machina in Five Acts
Le climax de l’album : un morceau-fleuve en cinq parties, où chaque musicien laisse son empreinte. Des sections symphoniques chaotiques à la "Department of Apocalyptic Affairs" croisent des envolées opératiques à la "La Masquerade Infernale". L’album se conclut sur une superposition de toutes les voix invitées récitant en canon un texte cryptique sur la fin d’un monde et le début d’un autre.
[hr]
Édition Spéciale et Bonus

• Digibook : Texte complet du Pentagonal Manifesto, artworks détaillés.
• Double Vinyle : Gravure sur la 4e face avec un sigil cabalistique lié aux cinq influences de l’album.
• Bonus Track (Vinyle uniquement) : “Holographic Tragedy”
  Un bonus track ultra-expérimental où chaque musicien improvise dans son coin, mixé en mode free-jazz de l’apocalypse.

C'était quoi ton prompt ?

Pour moi, les cinq piliers de l'avantgarde sont Department of Apocalyptic Affairs de Fleurety, Neonism de Solefald, La Masquerade infernale d'Acturus, Vivalavida de Carnival in Coal et Written in Waters de Ved Buens Ende. Pouvez vous imaginer l'album ultime qui combine ces 5 albums, avec peut être comme line up Carl-Michael Eide à la batterie, Cornelius Jackhelln aux guitares, Axel Wursthorn à la basse, Svein Egil Hatlevik aux claviers et l'électronique et Kristoffer Rygg au chant, mais tout le monde est capable d'aider les autres?
La liste des invités pourrait être longue comme le bras, vu les liens de tout le monde Lazare, Vortex, Fenriz, Satyr, Ivar Bjorson, Einar Seilvik, Sareeta, l'artwork pourrait être confié au Trine + Kim Design Studio

T’as dû en foutre plein le sopalin en imaginant le résultat

Plus que Macron en McGyver…

Tu l'as quand même sacrément guidée.

Xuaterc a écrit :

Cloué au fond de mon lit ce week-end, j'ai demandé à mon meilleur pote Chat-gpt d'imaginer l'album d'avant-garde ultime, en se basant sur la sainte trinité Department of Apocalyptic Affairs de Fleurety, Neonism de Solefald, La Masquerade infernale d'Arcturus, Vivalavida de Carnival in Coal et Written in Waters de Ved Buens Ende.

Pentagonal Apocalypse: A Manifesto in Sound
Par l’Ordre Avant-Gardiste des Illuminés du Black Prog Futuriste™
Line-up Principal

• Carl-Michael Eide – Batterie, guitares additionnelles, cris hystériques
• Cornelius Jakhelln – Guitares, spoken word, concept lyrics
• Axel Wursthorn – Basse fretless, arrangements symphoniques, samples tordus
• Svein Egil Hatlevik – Claviers, électronique dégénérée, bruitages absurdes
• Kristoffer Rygg – Chant principal, narrations, incantations murmurées

Guests

• Lazare, Vortex, Fenriz, Satyr, Ivar Bjørnson, Einar Selvik, Sareeta
• Agnete Kjølsrud (Djerv) – Duo sur "The Grand Derision Theatre"

Production

• Enregistré à L’Orgone Studio, produit par Jaime Gomez Arellano
• Artwork par Trine + Kim Design Studio
• Sortie chez I, Voidhanger Records (digibook illustré + double vinyle avec gravure sur la 4e face)

[hr]
Tracklist et descriptions
1. The Pentagonal Conspiracy (A Manifesto in Sound)
Une ouverture majestueuse où tout est annoncé : chœurs célestes à la "La Masquerade Infernale", riffs angulaires à la "Neonism", et nappes électroniques inquiétantes à la "Department of Apocalyptic Affairs". Cornelius Jakhelln déclame un texte cryptique sur une apocalypse à cinq faces, pendant que Kristoffer Rygg chante en mode crooner hanté. Puis, tout bascule : dissonances furieuses, accélérations incontrôlables et breaks électroniques torturés. Premier uppercut.
2. Postmodern Jester’s Parade
Un morceau frénétique dans la lignée de "Vivalavida" de Carnival in Coal : jazz déglingué, blast beats erratiques, et une basse funky slapée par Axel Wursthorn. Rygg et Lazare se lancent dans un échange schizophrénique entre voix angéliques et hurlements grotesques. La guitare de Cornelius Jakhelln virevolte entre Heavy Metal théâtral et Black Metal sardonique.
3. Esoteric Pyrotechnics
Un tour de force instrumental. Carl-Michael Eide lâche un jeu de batterie jazzy/cassé à la Ved Buens Ende, tandis que Svein Egil Hatlevik tisse des nappes synthétiques fantomatiques. Une basse fretless serpente au milieu du chaos, et un saxophone free-jazz apparaît brièvement pour une explosion finale absurde.
4. The Grand Derision Theatre (feat. Agnete Kjølsrud)
Le fameux duo délirant entre Rygg et Agnete. Une ouverture à la "Tittentattenteksti" de Solefald, où Rygg déclame avec gravité tandis qu’Agnete le coupe avec des interjections sarcastiques. Soudain, la musique explose en un mash-up entre blast beats, riffs groovy et refrains cabaret-metal. Une fin en fanfare déglinguée.
5. Arcane Flesh Algorithm (feat. Fenriz & Satyr)
Un morceau plus "rituel", dominé par un chant monastique doublé de percussions tribales et d’un riff lent et dissonant. Fenriz intervient pour une narration ésotérique, pendant que Satyr livre un chant possédé. Une montée progressive vers une explosion de Metal Extrême en mode “émeute orchestrale”.
6. The Ouroboros Paradox (feat. Einar Selvik & Sareeta)
Le titre folk-prog occulte de l’album. Einar Selvik amène des percussions nordiques et une lyre antique, tandis que Sareeta tisse des mélodies de violon lancinantes. L’ensemble évolue vers une fusion entre Post-Black, Folk ésotérique et ambiances synthétiques vaporeuses.
7. Into the Abyss of Recursive Madness
Un morceau labyrinthique à la "Written in Waters". Changements de rythme imprévisibles, guitares dissonantes, chant alternant murmures et explosions hystériques. La basse de Wursthorn est omniprésente, glissant dans des textures presque Zeuhl. Svein Egil Hatlevik enrobe le tout de glitchs électroniques bizarres.
8. A Deus Ex Machina in Five Acts
Le climax de l’album : un morceau-fleuve en cinq parties, où chaque musicien laisse son empreinte. Des sections symphoniques chaotiques à la "Department of Apocalyptic Affairs" croisent des envolées opératiques à la "La Masquerade Infernale". L’album se conclut sur une superposition de toutes les voix invitées récitant en canon un texte cryptique sur la fin d’un monde et le début d’un autre.
[hr]
Édition Spéciale et Bonus

• Digibook : Texte complet du Pentagonal Manifesto, artworks détaillés.
• Double Vinyle : Gravure sur la 4e face avec un sigil cabalistique lié aux cinq influences de l’album.
• Bonus Track (Vinyle uniquement) : “Holographic Tragedy”
  Un bonus track ultra-expérimental où chaque musicien improvise dans son coin, mixé en mode free-jazz de l’apocalypse.

Tu veux dire que tout ça a été pondu par l'I.A. ?!?

Putain de flippant.
Vraiment flippant.

L'immensité des possibles d'une utilisation ''mauvaise'' de ça est infernale, littéralement.

On compare ça à l'arrivée d'internet.
C'est pas du tout pareil pourtant.